Quand le destin vole
Un être symbole,
Plus rien n'existe
Qu'un étroit tunnel triste
Dans mon coeur de petite fille
S'est glissé un aiguille
Il fallait renoncer
A notre complicité
Pour lutter contre ce sentiment
De vide et de néant,
J'ai appris à te parler
Sant t'avoir à mes côtés
Au-delà de la mort,
Je sais que tu es encore,
Ton invisible présence
Me redonne confiance
Alors, en cadeau posthume,
Et sans amertume,
Je te dédie ce poème
Papa je t'aime